En poursuivant la navigation sur le site, vous acceptez l'utilisation de cookies

Tyrol, Autriche, Venise, Toscane en hiver.


Mardi 7. Un temps très ensoleillé ce matin. Départ (sniff !) pour Venise.







La descente sur Innsbruck avec sa pente à 16% se passe bien. Prudemment, alternant le frein moteur et les freins, les 4 km sont passés sans encombre, la caravane n’est pas très lourde. La frontière italienne arrive assez vite, et le Tyrol italien s’avère être beaucoup plus enneigé, nous offrant des paysages magnifiques. Mais les poids lourds sont très nombreux. Presque tous viennent de l’Est : Pologne, Hongrie, Lituanie, Roumanie, etc. et il faut faire attention car leur conduite n’est pas toujours respectueuse ni de la vitesse ni des lignes blanches qui séparent les files. La vitesse limitée pour un attelage est de 80 km/h, tout comme les camions qui roulent à 100. Nous les suivrons donc à cette allure, les doublant souvent quand ils ralentissaient trop, ou se montraient incertains. Comme en Autriche, aucun véhicule de police n’est aperçu durant toute la route.







L’arrivée sur Marghera sera difficile, car notre GPS n’intègre pas l’actuelle sortie d’autoroute. Il est 17h, il fait nuit et le brouillard n’arrange pas les choses. Nous galèrerons une bonne demi-heure avant d’arriver et de trouver l’entrée du « Camping Joly », le seul à rester ouvert à Venise en janvier.



Les commentaires peu élogieux sur ce camping lus sur Internet nous aurons permis de ne pas être trop déçus. On le savait à l’avance, le camping s’avère décevant. L’emplacement est très boueux, la route toute proche se fait bien entendre et les sanitaires spartiates, n’ont pas la propreté autrichienne que nous venions de quitter. Mais Venise est tout proche et c’est bien son avantage.