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Turquie : récit de voyage - 2008

Göreme

 

Sur la route qui mène en Cappadoce, nous aurons l'occasion d'apercevoir quelques autres caravansérails.

Route toute droite, quelques fois au goudron défoncé sur la voie de droite mais on commence à s'y habituer !

A notre arrivée à Görenne, nous cherchons le Kaya camping. Mal indiqué en arrivant par le centre ville... on fera quelques détours.

Finalement, après une côte d'enfer en pavé annoncée à 10 % mais plus raide aux niveaux des épingles (Phil est allé mesurer... si, si ! 22 %). Nous la passons derrière un bus... limite, limite !

Là encore, on a un emplacement génial ! avec une vue grandiose et la caravane sera à l'ombre toute la journée.

Le camping a une piscine.

Il est très bien entretenu, très calme et les sanitaires sont supers ! Marbre, pression et eau très chaude !

Le meilleur camping qu'on est vu içi etmême bien meilleur que certains en Euope ! A recommander absolument ! En plus, le patron est très sympa !

Il y aura beacoup de jeunes français en tente et sac à dos.

Aujourd'hui, nous prenons le temps... les enfants profitent de la piscine et nous aussi.
Nous allons faire quelques courses au village voisin Ortahisar. Déroutant ! Après Göreme qui est assez touristique, ce village est beaucoup plus traditionnel... que des hommes ! Là encore, j'enfilerai un chemisier pour circuler à pied.

Nous attendons la fin de l'après-midi pour aller nous balader. Direction la vallée de l'Amour... Au regard des photos, vous comprendrez pourquoi elle est nommée ainsi. :-))

Etonnant ! les sites en Cappadoce ont des accès par des pistes où la circulation est autorisée. Attention, certaines d'entre elles sont très sableuses. J'arrêterai Phil dans ses élans ne souhaitant pas être ensabler à nouveau :-)

Pour cette balade, nous accédons tout d'abord par le bas du site. On se baladera à travers des petits chemins. C'est très sympa... les enfants adorent !

Site splendide !

Nous accèderons ensuite au sommet de la vallé (en reprenant la voiture)... Vue imprenable !

Nous aurons un coup de cœur pour la Cappadoce ! Et le fait de pouvoir se déplacer en voiture, sans caravane est tout à fait appréciable.

Les couleurs des montagnes, les lumières sont superbes... notamment à la tombée de la nuit. Il est + de 19 h et le jour tombe très vite ici (20 h30 à cette période) mais nous n'avons pas envie de rentrer à la caravane et Elsa, notre benjamine, veut se promener dans les montagnes. Elle veut rentrer dans les habitations.

Juste en face du camping, il y a une église dans les pierres. Nous y allons.

L'entrée est payante mais le gardien nous fera un prix... seulement 3 personnes au lieu de 4. 9 Ytl.
Il nous invite à prendre le thé après la visite qu'il nous commentera (en anglais) dans sa 1ère partie.

Il faut se courber pour franchir certains passages... les enfants adorent ça ! Munis de lampes torche... ils s'amusent !

Le thé se passera en compagnie de deux autres Turcs dont l'un parle parfaitement anglais. Il nous donnera des infos sur la Cappadoce et ses habitants.

Nuit très calme. Aucun bruit, des voisins silencieux. Il fait frais... Parfait pour récupérer !
Alors, ce matin, grasse matinée pour nos enfants... à l'ombre !

Notre famille et nos amis nous ont prévenus qu'il y a eu un attentat à Istambul... 17 morts et 150 blessés proches des lieux où nous souhaitions nous rendre. On hésite donc à y aller ! Cela sera ainsi pendant quelques jours... on y va ? on n'y va pas ?

Aujourd'hui, au programme : visite de villes souterraines. On opte pour celles de Kaymali (sur les conseils d'Anne-Marie et Bernard, rencontrés au lac de Yesilova) et confirmé par le Turc avec lequel nous avons pris le thé la veille au soir.
C'est à une vingtaine de kilomètres du camping. Mais nous sommes en voiture...

Juste avant l'entrée du site, sur une rue du village, Phil voit écrit "Lokanta" (restauration rapide). Il achète des pizzas à la viande. 3 Yl la pizza (on mange à 2 avec 1). Pour 4,5 €... on mange à 5 et à sa faim ! En plus, c'est très bon.
On commence même à s'habituer au beber (petits piments).. même les enfants.

Entrée du site : 10 Ytl. On paiera pour 3 personnes.
Un guide nous propose ses services en français : cher : 35 Ytl ! Il comprend qu'on trouve ça trop cher... il baisse un peu : 30 Ytl. Bon, on se dit que cela peut être instructif.

Je sors l'appareil photo et... pas de batterie ! Forcément, je l'ai enlevé pour la recharger et... j'ai oublié de la remettre. Tant pis, nous n'aurons que des souvenirs dans nos mémoires.

Le guide nous expliquera qu'il y a 8 étages dont 5 ouverts au public. ~ 10 % des villes sont ouvertes, le reste devient trop fragile.
Il pouvait y avoir 5000 personnes dans ces habitations en cas de guerre.
Les villageois installaient des provisions et des réserves d'eau et en cas de nécessité se mettaient à l'abri pour une durée de 6 mois maxi. Au delà, il y avait trop de maladies... Problème d'hygiène et de santé.

Un tunnel de 8 km permettait de relier cette ville à une autre et ainsi les habitants pouvaient s'échapper. Il n'est pas accessible, le système d'irrigation actuel l'a condamné.

Le village souterrain est construit de façon très ingénieuse. Des systèmes d'aération, de communication, de sécurité ont été mis en place. Tout y est bien organisé.
Là aussi, il y a des espaces pour les riches (parties hautes), pour les classes moyennes et les pauvres (parties basses) avec plus ou moins de hauteur bien sûr !

Un puits (cheminée) de 120 m de haut permet d'alimenter et de faire vivre la population servant à l'évacuation des fumées de nuit, le puisage de l'eau et l'évacuation des eaux usées.

Après cette visite commentée où les enfants ont été attentifs et sages ; on leur propose de refaire le parcours sans guide ! Nous voilà à passer d'une pièce à l'autre... parfois accroupis ! Un bon moment avec les enfants !

Nous avons fait cette visite à l'heure du déjeuner.... bonne idée. Il n'y avait que 3 ou 4 familles. A notre sorite, un bus de japonnais arrivera.

Retour au camping ! Nous profitons du net en accès libre et gratuit ! On pourra ainsi mettre quelques photos en ligne de notre voyage.

Il ne fait que 28 ° C aujourd'hui... c'est la 1ère fois en Turquie que nous avons ces températures.

17 h... on repart se balader... les bus sont partis des sites.
Direction, les cheminées de fée de Zelve. C'est le site où il y a le plus de cheminées de fée.

C'est vraiment la bonne heure : 17 h 30... le site ferme à 19 h.... nous ne serons là aussi que 2, 3 familles à se balader.

Deux vallées sont accessibles... nous ferons les deux... les enfants cherchant les accès entre les habitations. Ils sont ravis !

Paysage étonnant là aussi !
Un petit bémol, les lampes électriques sont restées à la voiture... cela limitera les avancées de nos enfants dans les tunnels.

Parking payant : 2 Ytl.
Entrée du site : 5 Ytl par personne. Enfant gratuit.

Ce soir, barbecue à la caravane. Il y a un vent fou... nous dînerons en... polaires !
Nuit très fraîche... je ne regrette pas ma couette.

Nous restons encore une journée en Cappadoce... ça fait du bien de ne pas rouler et de se poser. Les enfants en ont envie aussi.

On attendra la fin d'après-midi pour aller faire une dernière visite. Ce sera la Vallée des Pigeons.

J'avais vu qu'il y avait des tunnels et je pensais que cette balade serait récréative pour les enfants. Finalement... pas terrible et même assez ardue !

Avant de partir, nous faisons les pleins et les vides de la caravane.
Quand nous allons régler le camping (38 Ytl la nuit), nous offrons une bouteille de vin au propriétaire. Il a été très sympa. Il nous a donné des autocollants du drapeau Turc pour notre caravane.
D'ailleurs, à propos d'autocollant, nous avons pu laisser une trace de Caravane-Infos :-)) sur la devanture du camping.

Ankara

Aujourd'hui, direction Ankara ~ 300 km. La logique voudrait qu'on prenne la route qui passe par Kirsehir et Kirikkale mais après 3000 km en Turquie, j'ai appris à lire la carte et à deviner les routes. Je me méfie des routes montagneuses !!!
Alors, on optera par un retour sur Askaray (on connait la route pour l'avoir faite à l'aller), longer le lac salé par Sereflikoçhisar.

Nous aurons raison... pour quelques 30 km de plus, nous avons fait 300 km de routes droites. Seul inconvénient : le bitume qui est toujours défoncé (mais moins pire qu'ailleurs).

En route, nous nous arrêterons déjeuner dans un resto près d'une station service. C'est un resto de routier : 6 Ytl par personne. Salade et 2 brochettes de Kebap servi dans une galette de pain.

En arrivant à Ankara, on opte pour une traversée de la ville, plutôt qu'un contournement par l'autoroute pour redescendre dans la vieille ville.

Un gros inconvénient : nous n'avons comme plan que celui du GdR et notre carte routière. Bon, on sait qu'on veut rejoindre le quartier d'Ulus dans lequel se situe le Musée des civilisations que Phil veut visiter.
Le problème sera de se diriger au départ mais finalement, en allant vers le Nord, on trouve un panneau indiquant Ulus ! Et on aperçoit des panneaux signalant le Musée.

On se disait qu'on pourrait peut être se garer sur le parking du musée mais quand j'aperçois la côte en pavé qui y mène... je doute !
En bas de la rue, il y a parking mais minuscule.
Mais tout de suite après (après la station des petits bus bleus),

je vois un parking plus grand, ouvert 24 h sur 24.
Ce sera le bon ! 6 Ytl pour 24 h (2 véhicules).
Nous sommes au pied de la citadelle. C'est bruyant, c'est évident mais bien placé. Et il y a de l'air.

Nous sommes en début d'après-midi. Nous allons voir le Musée.
Ca grimpe dur pour nos mollets :-)) mais c'est sympa.

Site cher : 12 Ytl/personne X 5 (+ de 7 ans).

Joli musée, très bien fait mais nos enfants ne sont pas fanas et moi non plus d'ailleurs.

Un guide en français voudra nous offrir ses services pour 60 Ytl !! Si, si 30 € ! Et en plus, il nous dit qu'il nous fait un prix parce que nous sommes une famille.
Bien entendu, nous refuserons mais visiblement, il avait envie de parler et il commentera gracieusement :-)) quelques pièces du Musée.

Nous redescendons par les bazars... il y en a plein les ruelles mais surtout des vêtements.

C'est fatigant : Nous ferons un grand détour parce que le retour à la caravane sera bien long !

On achète des boissons en route 5 Ytl les 5 boissons !

A peine arrivés, le gardien de nuit du parc vient discuter... en Turc !
Il nous invitera à boire le thé. Moi, je suis crevée... seul Phil ira. Ils discuteront de tout et politique. Nicolas Sarkosy a laissé des traces ! Et ne donnera pas la meilleure image de la France aux Turcs.
Un des gardiens parlent un peu anglais mais c'est difficile de suivre une conversation... il commence ses phrases en anglais et les finit en Turc. :-))
Ils nous invitent à un barbecue et à boire le Raki après 22 h... On refusera disant que nous sommes fatigués.

Dîner en ville dans une sorte de cafetéria (40 Ytl) mais on a trop commandé.

Retour à la caravane, rediscussion avec les gardiens et voilà qu'un chauffeur de Dolmus (petit bus) qui dîne dans son véhicule en arrosant son repas au whisky (loin de sa femme qui ne veut pas qu'il boive d'alcool) vient discuter. Moi, je ne peux pas parler ce soir... je suis complètement lessivée.
Il viendra nous offrir des loukoums, un gros morceaux de fromage et des sortes de saucisses séches. Puis, quand nous serons couchés, il reviendra frapper à la porte pour nous offrir une casquette et deux bracelets de la part de son épouse.

La nuit a été fraîche... Ankara est à plus de 1000 m d'altitude.
Nuit calme si on fait abstraction du bruit de la route ; la circulation s'est calmée entre minuit et 6 h.
Avec des boules quiès, nickel.
Aucun sentiment d'insécurité... bien au contraire, d'autant plus que nous sommes des touristes. Des Turcs nous le diront au cours de notre séjour. Des policiers passeront dans la soirée sur le parking... on est sûr d'avoir été repérés et donc doublement surveillés !

Ce matin, on va chercher du pain pour le petit déjeuner... ce n'est pas bien loin. 1,5 Ytl les 2 pains. A notre passage, le gardien de jour nous offre un thé !

9 h, on décolle. On prend la direction de la Mer Noire.

 

Mer Noire

La circulation est moins dense que la veille. Nous suivons les explications que les Turcs nous ont données la veille pour trouver la direction d'Istambul (autoroute). Il nous faut traverser une partie d'Ankara et très vite on rejoint de grands boulevards... le plus gênant, c'est la manque de marquage au sol... surtout que nous restons sur la voie centrale. La voie de droite est à proscrire... entrées et sorties des véhicules à grande vitesse.

Nous voici sur l'autoroute... comme cela fait du bien de trouver du bon goudron. Un réel plaisir après + de 3000 km de routes défoncées !

Paysages magnifiques à + de 1700 m d'altitude !

Mais voilà que le goudron est à nouveau fidèle au reste de la Turquie... :-(((

Gros bouchon à la sortie de l'autoroute (Gerede) : 2 guichets ouverts pour un flux de voitures important. Ce qui est amusant, c'est de voir les Turcs qui sortent de leur voiture et marchent au milieu des véhicules pour patienter.
Un policier est là pour aider à gérer la circulation. Un automobiliste lui offrira un sandwich.
Un instant, je me suis amusée à m'imaginer le faire en France :-)))

Notre idée de départ était de dormir vers Safranbolu.

Nous passons le village et il y a beaucoup de monde et nous ne trouvons pas de stationnement à l'ombre. On ne s'arrêtera pas.

Après une pause déjeuner plus loin, nous prenons la route vers la Mer Noire. Passage à Bartin et Asmara.

Pour atteindre le village... côtes d'enfer (15 % ) en lacets... forcément ! en 11 km, on passe de 500 m à 0 m d'altitude !
Mais ce n'est rien comparé aux routes du village... pas de panneaux de signalisation... des voitures garées partout !

Amasra est entre deux falaises. Nous voila dans une ruelle à double sens, des voitures qui arrivent des deux côtés... ça passera à quelques centimètres près !!

Il y a bien un otopark à l'entrée du village au bord de mer... on hésite à s'y poser. Il y a peu de places. Finalement on se dit qu'à l'ouest ce sera peut-être plus tranquille.

On refait donc la route en sens inverse... re côtes... re lacets...
Direction Bogaz / Gavurpinar. Mais il s'agira d'un terrain militaire !
Dernière option possible : Inkum.
Même chose pour la route : côtes... peut être un peu moins raides.

Il commence à se faire tard 17 h... On roule depuis 9 h le matin... On en a tous marre de la route !

A l'entrée de la station balnéaire (plus populaire qu'Asmara), il y a un otopark avec des tentes... nombreuses et serrées... on ne voit pas juste derrière qu'il y a un mini camping turc (10 Ytl la nuit) avec des douches et wc gratuits.
Il faut tourner tout de suite à gauche devant la gendarmerie.

On ira à l'otopark 100 m plus loin à droite.

Pas terrible ! Contre un manège et un trempoline qui fonctionnera la musique à fond jusqu'à minuit !
Mais il faut se poser ! Alors, on s'arrête (5 Yl la nuit mais les wc et douches sont payants). Douche glacée 1,50 Ytl par personne ! Ils abusent ! Mais l'usage du pulvérisateur n'est pas discret !

Beaucoup de vent... Ca souffle sur la plage... Personne au bord de l'eau à 17 h... le sable qui vole est intenable !

Ce soir, barbecue à la Turc.
Nous avons fait des courses le matin en partant d'Ankara et on a trouvé des dorades... Cela nous change du mouton !

Malgré la fatigue de la route, on décide d'attendre avant de se coucher... trop d'animation et de musique !

Une Turque allemande se promène avec son fils et nous demande à visiter la caravane. Elle ne parle pas anglais et nous pas un mot d'allemand. Mais on arrive à se comprendre. Elle a aussi une caravane et elle est installée sur le petit camping.
Elle nous invite à prendre le thé.

Visite à notre tour de sa caravane ; de fabrication turque. On note qu'il n'y a pas de double vitrage, ni de chauffage mais une clim ! D'ailleurs, la clim est placée dans le coffre avant avec l'eau et le gaz et ne pèse pas moins de 70 kg... Phil dit que le poids en flèche doit être bien lourd... l'homme répond que non :-))

Autour de deux grandes tasses de thé, nous discutons dans un langage improvisé... gestes, turc, allemand, anglais, un peu français... pas facile.
On apprendra qu'après avoir travaillé très longtemps en Allemagne, ils prennent leur retraite en Turquie... la pré-retraite en Allemagne, c'est un demi salaire et pour cette somme, ils vivent en Turquie 4 fois mieux.

C'est bien ce qu'on remarque... la vie est 3 à 4 fois moins chère qu'en France si on vit à la Turc (alimentation) et 2 fois moins cher si on vit à l'Européenne.
Le retour en France va nous faire bizarre ! Déjà... le passage par la Grèce sera surprenant !

La nuit ne sera pas des plus calmes... bien que la musique ce soit arrêtée à minuit... des Turcs sont arrivés dans la nuit collant leur voiture (un Scudo d'ailleurs - assez rare en Turquie) contre notre cara à moins d'1 mètre.
Et ils ne dorment pas la nuit du samedi... ils ont fait des grillades toute la nuit... c'est d'ailleurs ce qui m'a réveillé ! C'était du poisson ! Pas de musique mais ils ont discuté toute la nuit !
A notre réveil, Phil claque la porte pour montrer notre mécontentement, ils pousseront leur voiture un peu plus loin.

Ce matin, on veut quand même aller se baigner dans la Mer Noire ! Mais malgré notre grande motivation... les 14 ° C (si, si) auront raison de notre courage ! Les 3 jours précédents de vent y seront certainement pour quelque chose. Tant pis !

Nous ne voulons pas rester là... trop animé pour nous et l'eau est trop froide. Alors, après avoir hésité longtemps à nous rendre plus à l'Ouest sur la côté, on se dit que les accès seront tout aussi difficiles ou qu'il y aura tout autant de monde, (trop proche d'Istambul). Il nous reste encore 4,5 jours à passer en Turquie... on ne veut pas trop s'éloigner de la frontière et passer si près d'Istambul.... sans en profter. Alors, nous décidons de nous y rendre !

 

Istambul

On prend la route passant par Bartin, Devrek et Yeniçaga (2 h de nationale) et route correcte. On découvre que c'est cette route qui est indiquée en venant d'Ankara... si on avait su la veille !!! Nettement, meilleure ! A prendre donc, si on veut monter sur la Mer Noire.

Ensuite, on rejoint l'autoroute.